Eco-quartiers (Les) : une synthèse documentaire.-

LAUGIER, Robert

Auteur moral
Auteur secondaire
Résumé
A l'initiative du CRDALN, cette veille comparative propose une synthèse établie à partir d'articles de presse publiés après la remise des prix de l'appel à projets "éco-quartiers", et de rapports et d'ouvrages récents traitant des éco-quartiers, proposant des analyses critiques, des comparaisons ou des présentations d'expériences ou encore décrivant des outils méthodologiques, conceptuels et opérationnels pour mener de tels projets.Il ressort des documents que cette appellation recouvre des expériences très variées, tant dans leurs échelles que dans leurs objectifs et résultats en matière urbaine et environnementale.
Descripteur Urbamet
développement durable ; éco-quartier ; zone d'aménagement concerté ; maîtrise d'ouvrage publique ; mixité sociale ; gestion ; projet d'urbanisme ; financement ; économie ; démarche qualité ; attractivité
Descripteur écoplanete
Thème
Aménagement urbain ; Environnement - Paysage
Texte intégral
Les éco-quartiers Synthèse documentaire établie par Robert Laugier pour le compte du Centre de Ressources Documentaires Aménagement Logement Nature (CRDALN) janvier 2010 1 Les éco-quartiers Ce texte propose une synthèse établie à partir d'articles de presse publiés après la remise des prix de l'appel à projets « éco-quartiers », de rapports et d'ouvrages récents traitant des éco-quartiers, proposant des analyses critiques, des comparaisons ou des présentations d'expériences, ou encore décrivant des outils méthodologiques, conceptuels et opérationnels pour mener de tels projets. Il ressort de ces documents et du contexte actuel que l'appellation « éco-quartier » recouvre des expériences très variées, tant dans leurs échelles que dans leurs objectifs et résultats en matière urbaine et environnementale. Ils posent donc la question de la définition de l'éco-quartier, de son contenu et, par conséquent, de sa conception et de sa réalisation dans leurs divers aspects, opérationnels, organisationnels, financiers. Des réactions à un palmarès... Le palmarès de l'appel à projets « éco-quartiers » a été l'occasion de réactions, tant dans la presse nationale que dans la presse spécialisée [1][2][3]. La critique a essentiellement porté sur la diversité et la multiplicité des catégories créées pour ce palmarès : projets ruraux, projets menés par de petites villes, projets portant sur l'eau, la biodiversité, la présence de la nature en ville ou les déchets, projets caractérisés par leur sobriété énergétique, l'accent mis sur la densité ou la forme urbaine, axés sur la mobilité, présentant des pratiques remarquables d'éco-construction, etc. Journalistes et spécialistes s'accordent dans leurs commentaires pour regretter une telle dispersion, mais aussi pour reconnaître que le projet « vainqueur », celui de la ZAC De Bonne à Grenoble, possédait la grande qualité de la transversalité dans son traitement de la notion de développement durable. Ils notent toutefois qu'il n'existe pour l'heure aucune norme ni label encadrant ou définissant les éco-quartiers, mais que les suites envisagées pour cet appel à projets pourraient permettre d'en voir émerger à travers la capitalisation de ces expériences qui, bien que parcellaires dans leur approche, proposent des solutions intéressantes. Quelques caractéristiques du projet grenoblois de la ZAC de Bonne : · · En termes de mixité d'usage et de mixité sociale : 900 logements familiaux, 40% d'habitat social, 200 logements étudiants, un établissement pour personnes âgées, une école élémentaire, 5000 m² de bureaux, deux hôtels, un cinéma, des magasins, des restaurants. En termes énergétique et de gestion des ressources : utilisation de la nappe phréatique et non de la climatisation pour rafraîchir bureaux et restaurants, installation de 1000 m² de panneaux photovoltaïques, logements fortement isolés, ventilés en double flux et alimentés par des microcentrales à cogénération de chaleur et d'électricité. Comme on le verra dans les paragraphes suivants, ce projet satisfait à de nombreuses finalités et cibles d'un projet d'urbanisme durable « idéal ». A la question de la définition de ce qu'est un éco-quartier Historiquement, les pays d'Europe du Nord ont ouvert la voie dans la prise en compte de l'écologie dans la production du cadre bâti. Alors, qu'en est-il de ces projets menés dans les autres pays où ces expériences sont souvent considérées comme des références ? Des analyses critiques ou comparatives et des présentations d'expériences particulières montrent que, de manière générale, ces projets britanniques, suédois, danois, allemands ou autrichiens qui bénéficient souvent de l'aura accordée au modèle nord-européen en matière d'environnement, se caractérisent essentiellement par l'intervention d'une expertise écologique et environnementale qui se traduit dans la qualité environnementale des constructions et des espaces (économies d'énergie, utilisation des énergies renouvelables), puis éventuellement par une mixité d'usage (logements et activités) et la présence de la nature en milieu urbain, mais plus rarement par la prise en compte de la dimension sociale. [4][5] Cette dimension sociale est parfois présente à travers des pratiques de participation, de consultation et d'information des populations, des équipements culturels et sociaux, des actions et pratiques pour la mixité sociale ou intergénérationnelle. Mais elle est aussi parfois totalement absente, même dans pays nordiques. De plus, le risque existe que le développement de ces quartiers s'accompagne du phénomène de « gentrification », et contribue ainsi au renforcement de la ségrégation sociale et des inégalités environnementales. [4][5] 2 Cette transversalité dont journalistes et chercheurs ont regretté l'absence dans la plupart des projets primés et qui semble incomplète si ce n'est absente dans diverses expériences connues, est donc à rechercher dans la prise en compte, dans un projet d'éco-quartier, des trois grandes dimensions du développement durable : environnementale, économique et sociale. Certains auteurs parlent ainsi d'urbanisme durable. [4][5][6] Finalités et cibles de l'urbanisme durable Les trois dimensions du développement durable figurent de manière plus précise dans l'énoncé par certains auteurs des finalités d'un urbanisme durable : [6] · lutter contre le changement climatique, · préserver les ressources naturelles, · améliorer la qualité de l'environnement local, · favoriser l'équité sociale, · favoriser la mixité et la diversité, · maintenir et renforcer le lien social et la solidarité, · maintenir et renforcer l'attractivité pour un développement économique durable. Ces finalités et la déclinaison de leurs implications permettent alors de définir le contenu et les objectifs d'un projet d'éco-quartier. [6] Des démarches et outils opérationnels A partir de ces principes, des outils ont été développés comme par exemple la démarche HQE²R qui est le résultat du projet européen « Sustainable renovation of buildings for sustainable neighborhoods » ou « Réhabilitation durable de bâtiments vers des quartiers durables ». [6] Cette démarche se fonde sur les 5 objectifs du développement durable (ressources, environnement local, diversité, intégration, lien social), décomposés en 21 cibles, 51 sous-cibles (voir tableau en annexe). Cet ensemble correspond au système d'analyse ISDIS (Integrated Sustainable Development Indicators) et permet d'évaluer un projet ou d'en dresser le profil au moyen d'un diagramme radar comprenant ces 21 axes. [6] Cette démarche HQE²R peut s'appliquer à la transformation durable d'un quartier en éco-quartier. Elle décompose le projet en plusieurs phases : décision, analyse, élaboration du plan d'action, action et évaluation. Chaque phase est elle-même décomposée en étapes et il existe aussi une grille d'analyse du processus participatif dans un projet de territoire, en rapport avec la démarche HQE²R. [6] D'autres outils ont été développés par divers organismes (CERTU, ADEME, CSTB, etc.) pour effectuer le diagnostic territorial, urbain ou social, pour l'aide à la décision en matière d'environnement urbain, pour l'évaluation environnementale ou économique. Des villes comme Grenoble et Rennes ont produit des guides ou référentiels pour la rédaction d'un cahier des charges visant la qualité environnementale ou l'aménagement durable. [6] Mettre en oeuvre localement, organiser, financer, réaliser Cette multiplicité des cibles ou sous-cibles définies dans la démarche opérationnelle HQE²R montre bien la complexité que peut prendre un projet d'urbanisme durable souhaitant embrasser et traiter tous les aspects du développement durable. Elle montre aussi qu'il s'agit là d'une vision idéale, d'un objectif vers lequel il est souhaitable de tendre mais qui n'est sans doute pas à la portée de tous dans sa globalité. Il conviendra donc de s'adapter à la situation locale, ses problèmes, ses atouts, ses besoins, ses enjeux. [7] Où développer des projets d'éco-quartiers et quel est le contexte le plus favorable pour un tel développement ? L'observation de plusieurs expériences et projets européens montre que l'existence d'un contexte économique propice, la préexistence d'approches ou politiques environnementales et l'initiation des habitants ne sont pas des aspects ou des préalables nécessaires pour ces projets. Ils peuvent justement être l'occasion de revitaliser la ville, de lancer une nouvelle politique environnementale. [7] Quels choix majeurs doivent faire les responsables locaux ? Ces choix portent sur la définition du périmètre urbain susceptible d'assurer les objectifs en matière de développement durable, sur l'orientation des solutions vers des techniques impactant faiblement l'environnement, et sur le choix de concepteurs et d'experts capables de donner un contenu et une forme inédite au quartier. Un quatrième domaine ne doit pas être oublié : le lien avec les autres échelles (ville, région). [7] 3 Quels sont les difficultés dans le montage organisationnel du projet ? Celui-ci nécessite tout d'abord la mobilisation d'acteurs différents, de plusieurs maîtrises d'ouvrage (architecturale, urbaine, environnementale, sociale, de la promotion économique et de la communication), puis la constitution d'un noyau dur les regroupant et celle d'un leadership. Là aussi, le choix d'échelle (le quartier, la ville) peut avoir une importance. De plus, la nature du projet nécessite l'implication des entreprises exploitant les services urbains (eau, énergie, déchets) assez en amont du projet de manière à atteindre les objectifs de qualité. Ceci implique aussi la mise en place de solutions juridiques et institutionnelles pour lier les décideurs (fiduciaires, syndicats, sociétés à participation) et les engagements (convention, contrat, bail). [7] Et dans le montage financier ? Les expériences passées démontrent la diversité des montages. En France, les subventions ont parfois tenu des places majoritaires par rapport aux prêts. De plus, les financements peuvent avoir des origines aussi diverses que l'opération comporte d'aspects ou d'étapes. [7] Et dans la réalisation et le suivi du projet ? Il est très important mais aussi difficile de respecter les délais alors que la maturation du projet peut prendre une dizaine d'années au maximum, et en même temps à intégrer les évolutions longues et les cycles de vie du cadre physique produit. Ceci implique innovation, découverte de nouvelles démarches et solutions inédites, précautions par des études complémentaires et des contre-expertises. Ces projets posent donc des problèmes de synchronisation d'une planification globale et de la conception des détails, de coordination des acteurs, de satisfaction des objectifs de départ et de qualité. [7] Documents utilisés pour cette synthèse [1] « Eco-quartiers : la France peine à rattraper son retard », Grégoire Allix, Le Monde, jeudi 5 novembre 2009, page 2. Cet article propose un commentaire critique sur la remise des prix de l'appel à projets « éco-quartiers » et présente le projet lauréat de la ZAC de Bonne à Grenoble. [2] « Eco-quartiers, de la démarche au palmarès », Marie-Christine Vatov, Traits urbains, n°35, décembre 2009, pp. 54-56. Cet article propose un commentaire critique sur la remise des prix de l'appel à projets « éco-quartiers ». [3] « Eco-quartiers/Eco-cités, une démarche, des réussites », Premier plan, n°19, novembre-décembre 2009. Dans un entretien, Lydie Laigle rend compte de ses travaux de recherche sur la ville durable, souligne l'importance du contexte culturel, indique les grandes tendances repérées en matière de développement urbain durable à travers les études menées sur les cas de Barcelone, de Hanovre, de Copenhague et de Naples. D'autres articles de ce numéro présentent la stratégie mise en place pour le projet grenoblois, puis deux opérations primées toutes deux issues du programme Villa Urbaine Durable (un îlot du 20ème arrondissement de Paris, une ZAC à Frontignan). [4] « En quoi les politiques publiques dites de développement urbain durable privilégient encore trop les dimensions écologique et économique aux dépens de la dimension sociale ? L'exemple des quartiers durables en Europe », SilÏre Tribout, Mémoire de 1ère année de Master, Urbanisme et Territoires, mention Urbanisme, Institut d'Urbanisme de Paris, sous la direction de Guillaume Faburel Ayant souligné le manque de définition officielle du quartier durable, l'auteur propose une analyse croisée de six quartiers durables européens (BedZED à Beddington en Angleterre, Bo01 à Malmö et Hammarby Sjöstad à Stockholm en Suède, Vesterbro à Copenhague au Danemark, Vauban à Fribourg en Brisgau et Kronsberg à Hanovre en Allemagne). L'auteur montre que les trois dimensions du développement durable sont traitées inégalement. La dimension environnementale y est systématiquement abordée mais à des niveaux différents avec généralement une forte intervention de l'expertise écologique et environnementale. La dimension économique est importante car ces quartiers visent à renforcer l'attractivité à l'échelle de la ville. En revanche, la dimension sociale est en retrait par rapport aux deux autres, ce qui pose aussi la question de la définition d'un développement urbain socialement durable. [5] « Ecoquartiers en Europe », Philippe Bovet, Editions Terre vivante, collection Ma ville Ma planète, Mens, 2009. Après une présentation des principes fondamentaux des écoquartiers (conciliation de l'économie et de l'écologie, exemple de l'habitat passif, prise en compte de l'énergie grise des bâtiments), puis un entretien avec 4 Hubert Burdenski (architecte ayant participé au projet de Fribourg en Brisgau et spécialiste des Baugruppen, associations de propriétaires allemands souhaitant faire construire avec l'aide d'un architecte et sans passer par un promoteur), cet ouvrage présente quelques cas exemplaires : un exemple de Baugruppe pour la construction d'un immeuble de 9 appartements dans le quartier Vauban de Fribourg en Brisgau, un groupement de maisons individuelles construites en commun à Wolfurt en Autriche dans le Vorarlberg, la concertation pour la rénovation du quartier Vesterbro de Copenhague, le renouveau de la commune de Bazouges en France avec lotissement de 22 pavillons et d'un immeuble de 10 logements sociaux, la mobilisation citoyenne autour de l'écoZAC de la place de Rungis à Paris, l'écoquartier de Culemborg aux Pays-Bas, le quartier BedZED à Beddington dans le sud de Londres, un écoquartier de promoteur à Bishop's Castle, une commune rurale du nord-ouest de l'Angleterre, la rénovation urbaine de Malmö en Suède sur la friche portuaire industrielle de Vastra Hammen, un immeuble coopératif à Zurich. [6] « L'urbanisme durable : concevoir un écoquartier », Catherine Charlot-Valdieu, Philippe Outrequin, Editions Le Moniteur, 2009. Ayant rappelé les grands enjeux liés au changement climatique, à l'épuisement des ressources, aux risques sanitaires, à l'exclusion et à la pauvreté grandissantes, aux menaces sur la biodiversité, au vieillissement de la population et aux problèmes de circulation, cet ouvrage, en s'appuyant sur de nombreux exemples, propose un fil conducteur pour mettre en place des stratégies territoriales et d'urbanisme , ainsi que des démarches et des outils afin d'élaborer des projets urbains intégrant tous les champs et tous les enjeux du développement durable. Après avoir brièvement rappelé le cadre de référence européen et national, puis la définition du concept de développement durable et de la ville durable, les auteurs définissent les démarches de développement durable. Ils analysent ensuite des projets d'aménagement et de renouvellement urbain, puis des opérations actuelles de construction, de réhabilitation ou d'aménagement des espaces publics en France et en Europe, soulignant les points forts et les carences. Ils proposent ensuite une méthodologie de mise en oeuvre des démarches de développement durable dans le domaine de l'urbanisme et concevoir des projets tels que les éco-quartiers. Ils reprennent alors des exemples de bonnes pratiques thématiques : approche systémique, gestion des risques, gestion économe du sol, déplacements, paysage et espaces verts, aménagement de l'espace public, énergie, qualité de l'air, gestion de l'eau, patrimoine, matériaux, déchets ménagers, gestion des chantiers. [7] « Ecoquartiers, secrets de fabrication : analyse critique d'exemples européens », Taoufik Souami, Editions Les Carnets de l'info, collection Modes de ville, 2009. L'auteur aborde la question des quartiers durables ou des éco-quartiers, non pas par l'analyse de leurs caractéristiques physiques, mais à travers les processus et décisions, les fonctionnements institutionnels et les financements, les mises en oeuvre et problèmes rencontrés. Après un retour sur l'histoire du concept de quartier durable depuis les années 1980, souligné la prégnance initiale du modèle nord-européen comme référence, l'auteur commente la manière dont les villes du sud l'adaptent à leur situation pour conduire des stratégies de développement et des actions d'aménagement répondant à leurs problèmes spécifiques autres qu'environnementaux : reconquête urbaine, sauvegarde patrimoniale, traitement de situation sociales difficiles, maintien de l'activité économique, amélioration de la qualité urbaine. A la lumière de ses observations d'expériences menées dans divers pays européens, il montre que le montage d'un projet d'éco-quartier ne nécessite pas obligatoirement des préalables mais peut au contraire être à l'origine d'une nouvelle impulsion de la politique urbaine et environnementale. Il analyse et commente les choix majeurs que doivent faire les responsables, les problèmes et possibilités dans le montage organisationnel et financier du projet, puis dans sa réalisation. Ces documents sont consultables au Centre de Ressources Documentaires Aménagement-Logement-Nature (CRDALN, ex-CDU). 5 Annexe - Tableau des objectifs, cibles et sous-cibles de la démarche HQE²R Objectifs Cibles Energie Sous-cibles Efficacité énergétique (chauffage, ventilation) Efficacité énergétique (électricité) Utilisation des énergies renouvelables Limitation des gaz à effet de serre Consommation d'eau potable Utilisation d'eau pluviale Gestion des eaux pluviales Réseau d'assainissement Optimisation de la consommation d'espace Requalification des friches urbaines et des sites pollués Préoccupations environnementales dans les documents d'urbanisme Réutilisation des matériaux dans la construction/réhabilitation Réutilisation des matériaux dans les infrastructures et les espaces publics Mise en valeur de la qualité du patrimoine architectural Préservation/valorisation du patrimoine naturel Qualité des entrées de quartier Qualité du mobilier urbain Qualité des bâtiments Qualité des logements Satisfaction des usagers Propreté du quartier Insalubrité des logements Droit et accès aux soins et à la santé Sécurité des personnes et des biens Amélioration de la sécurité routière Gestion locale des risques technologiques Gestion locale des risques naturels Qualité de l'air extérieur Qualité de l'air intérieur Nuisances de voisinage Pollution sonore liée au trafic Pollution sonore dans les chantiers de construction Gestion des déchets ménagers Gestion des déchets de chantier Diversité sociale et économique Diversité intergénérationnelle Présence d'activités économiques Présence de commerces Présence d'équipements et de services Diversité de l'offre de logements : taille, nature, type d'occupation Renforcement du rôle de l'école dans le quartier Lutte contre l'échec scolaire Accessibilité à l'emploi, aux services et aux équipements Présence d'activités ou d'équipements attractifs dans le quartier Mise en place de systèmes non ou peu polluants, efficaces, diversifiés et cohérents Développement de cheminements piétons et cyclistes Participation des habitants aux décisions et projets du quartier Engagement des habitants et des usagers dans le processus de développement durable Solidarité Nord-Sud, liens avec la planète Participation des habitants au développement d'une économie locale Renforcement de la vie collective Eau Ressources Espace Matériaux Patrimoine bâti et naturel Paysage Logements Santé et hygiène Environnement local Sécurité et risques Air Bruit Déchets Population Diversité Fonctions et activités Logements Education et emploi Liaisons avec la ville Attractivité du quartier Déplacements Cohésion sociale et participation Lien social Solidarité et capital social Intégration Ce tableau a été établi d'après le schéma « Les cercles HQE²R du développement durable des quartiers [6] 6

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